Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
AD FNEJE Paris
11 juin 2016

Rapport GIAMPINO

Ayant participé à la commission Giampino, la FNEJE vous invite à lire le rapport GIAMPINO en le téléchargeant sur le site du minsitère des Familles, de l'Enfance et des Droits des Femmes

La FNEJE vous livre  son Communique__GIAMPINO

Le rapport de Sylviane GIAMPINO “Développement du Jeune Enfant, Modes d’accueil, Formation des
Professionnels”, remis le 9 mai 2016, à Laurence ROSSIGNOL, Ministre des Familles, de l’Enfance et des Droits des
Femmes suscite de nombreux articles :
Le quotidien la croix
Les pros de la petite enfance (Un rapport de grande qualité pour la FNEJE avec quelques regrets cependant )
Le monde
http://www.anpde.asso.fr/wpcontent/
uploads/2016/05/communique_de_presse_rapport_giampino.pdf

Selon la Gazette Santé Sociale, le rapport Giampino place les besoins de l’enfant au coeur de l’organisation
des modes d’accueil :
Dans son rapport remis à Laurence Rossignol le 9 mai 2016, Sylviane Giampino, psychologue pour enfants et
psychanalyste, fait le point sur les fondamentaux du développement du jeune enfant et dessine une organisation
ambitieuse des modes d’accueil et de la formation des professionnels à travers 108 recommandations. Elle réaffirme
certains fondamentaux tels que l’importance de la place accordée aux parents, mais remet en cause certaines
pratiques comme la surcognitivation (le parler bambin étant ici clairement visé) ou la facturation à l’heure posant
ainsi le principe d’une réforme de la prestation de service unique. Pour mettre de la cohérence dans les formations,
un plan d’action sur les métiers de la petite enfance devrait être présenté à l’automne, a indiqué la ministre.
Après plusieurs mois de concertation, la commission présidée par Sylviane Giampino, psychologue pour enfants et
psychanalyste, a rendu les conclusions de ses travaux le 9 mai 2016. Laurence Rossignol, ministre des Familles, de
l’Enfance et des Droits des femmes, l’avait chargé en juin 2015 de « dégager un consensus autour des grands
principes qui devraient s’appliquer à l’accueil des enfants de moins de 3 ans pour contribuer au développement de
toutes leurs potentialités ».
L’objectif étant de préparer les futures évolutions des différentes formations de l’accueil du jeune enfant. Articulé en
quatre parties, le volumineux rapport s’appuie sur l’état des connaissances concernant le développement du jeune
enfant pour analyser l’impact que ces fondamentaux devraient avoir sur les relations avec les familles, l’organisation
des modes d’accueil et les formations des professionnels.
Les professionnels sont en attente de techniques pédagogiques et de méthodes uniformisées :
Ce que le rapport de Sylviane Giampino souligne avec force, c’est la lourde responsabilité qui pèse sur les
professionnels de l’accueil de la petite enfance. « Dans le développement de l’enfant, la construction de l’extérieur
précède celle du monde intérieur. C’est à partir du lien à l’autre que se dessine le soi. » Or, d’après la mission
présidée par Sylviane Giampino, beaucoup de malentendus sont à l’oeuvre parmi les professionnels de l’accueil de la
petite enfance, qu’il soit collectif ou individuel. Tout d’abord : les sphères du développement du petit enfant,
physique, cognitif, affectif et social sont inséparables. Or, la mission observe une tendance représentative de notre
société à la « surcognitivation » au détriment des autres dimensions du développement. Les professionnels sont en
attente de « techniques pédagogiques », « de méthodes de travail uniformisées ». Le rapport préconise justement
d’éviter les stimulations, la méthode « Parler bambin », déployée dans de nombreuses collectivités, étant ici
clairement visée.
L’importance de l’accueil des parents :
Autre point important : « Accueillir un jeune enfant, c’est travailler avec ses parents, car il ressent les incohérences et
en pâtit ». Le rapport insiste sur l’importance de l’accueil des parents, dans leur altérité. L’enfant ne doit pas sentir de
rivalité entre les professionnels et la famille. « Il s’agit aussi de rassurer les parents pour qu’ils se sentent bien dans
leur façon de faire avec leur enfant », ajoute les rapporteurs qui consacrent une large partie au soutien à la
parentalité. Le toutpetit
est également très perméable au climat relationnel et à l’état interne de ceux qui
l’entourent. « Ses perceptions sont globales et intuitives et se traduisent directement en expressions somatiques ou
comportementales ». Un environnement bien traitant, fondé sur le principe de « prévention prévenante » est donc
nécessaire. Pour y parvenir, les professionnels doivent utiliser « des méthodes de travail appropriées, observées et
évolutives, éclairées par des références théoriques multiples », mais aussi par le regard de personnes ressources.
Psychologues, psychomotriciens, ergothérapeutes, intervenants artistiques… le soutien de ces professionnels est
jugé nécessaire, malgré les contraintes budgétaires qui menacent cette approche pluridisciplinaire.
Sortir la facturation à l’heure du système de financement des EAJE :
Le rapport dénonce également les contradictions entre soucis du développement de l’enfant et rationalisation
gestionnaire de l’accueil collectif. Pour Sylviane Giampino, « l’accueil n’est pas réductible à un service aux familles ».
Ainsi, l’obligation faite aux gestionnaires de facturer l’accueil de l’enfant à l’heure a entraîné des dérives
consuméristes de la part des parents. Pour y remédier, les gestionnaires ont eu tendance à rigidifier encore plus les
horaires d’arrivée et de départ des enfants, source de stress pour les parents et les équipes. Car le décompte à
l’heure sert aussi dans le calcul du taux d’occupation dont dépend la prestation de service unique (PSU). « Or
qu’advient ildu temps d’échanges avec les parents en fin de journée ? Des temps festifs, des ateliers parentse nfants
? » s’interroge Sylviane Giampino. Est ce du temps de travail ? Du temps d’accueil ? La mission préconise donc de
sortir la facturation à l’heure du système de financement des établissements d’accueil de jeunes enfants (EAJE). Une
réunion est d’ailleurs prévue le 11 mai entre l’État, la Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf) et l’Association
des maires de France (AMF) pour poser les jalons de la refonte de la PSU. Ce dont se réjouit Élisabeth Laithier,
présidente de la commission petite enfance de l’AMF.
Remettre à plat les normes sanitaires :
Autre préconisation qui ravit l’AMF : celle de remettre à plat les normes sanitaires en distinguant ce qui est
recommandé de ce qui est obligatoire. « Il faut passer du »tout sécurité » à la culture du risque mesuré », conseille
Sylviane Giampino, pour qui l’excès actuel est contreproductif au regard des besoins réels des enfants et freine l’initiativeet la créativité des équipes concernant l’aménagement des locaux, le matériel, les jeux…
Des ajustements dans les formations pour garantir des passerelles d’un niveau à l’autre de diplômes :
On attendait du rapport de Sylviane Giampino des clés pour remettre de l’ordre dans l’enchevêtrement de
formations. Le rapport ne bouleverse pas l’existant, préserve les dimensions sanitaires et éducatives de l’accueil, mais
suggère des ajustements pour « garantir des passerelles d’un niveau à l’autre de diplômes », et « articuler les
différents champs d’intervention entre les niveau V à II ». Ainsi un socle commun de connaissances serait constitué
qui porterait sur les enjeux du développement du très jeune enfant et ses conséquences sur les relations avec la
famille, les attitudes professionnelles et les fonctionnements des structures d’accueil, en privilégiant les rencontres
entre professionnels.
Si le CAP petite enfance est en cours de révision, la mission insiste pour que les attentes des modes d’accueil soient
prises en compte. Elle admet que le diplôme d’éducateur de jeunes enfants (EJE) devrait être le métier de base pour
l’accueil de la petite enfance. Tout en se réjouissant qu’il passe prochainement au niveau licence, et entraîne une
revalorisation statutaire du métier, les rapporteurs recommandent que des EJE restent néanmoins placés auprès des
enfants. Enfin, c’est le diplôme d’auxiliaire de puériculture qui d’après la mission devrait évoluer le plus. Elle
préconise d’y adjoindre certains modules du diplôme d’EJE en psychologie, socioéducation
et communication et de passer le diplôme en niveau IV, pour éviter que des titulaires du Bac ne préparent un concours d’entrée de niveau V.
Ces évolutions permettraient aux auxiliaires d’encadrer de petites unités ou de coordonner des projets. Elles
favoriseraient aussi leur évolution professionnelle.
Plan d’action sur les métiers de la petite enfance :
« Le rapport constitue une étape supplémentaire vers la mise en cohérence de tous ces travaux menés sur la
formation des professionnels de la petite enfance », a précisé Laurence Rossignol. Ses conclusions viendront en effet
nourrir le plan d’action sur les métiers de la petite enfance que la ministre devrait présenter à l’automne, pour «
structurer davantage les métiers de la petite enfance en leur donnant une identité commune et une impulsion
nouvelle », atelle
ajouté en pointant toute la difficulté du travail interministériel. Pour l’heure, deux préconisations
du rapport seront appliquées. L’élaboration d’un cadre national pour fonder une identité professionnelle commune
aux acteurs de l’accueil du jeune enfant, une mission qui sera confiée au futur Haut Conseil de l’enfance des familles
et des âges de la vie, et l’organisation d’une journée ministérielle des professionnels de la petite enfance pour
renforcer leur identité commune.

Les ASH du 11 Mai 2016 titre l’Amélioration de l’accueil du jeune enfant :
les préconisations du rapport “GIAMPINO” :
Missionnée en juin 2015, Sylviane Giampino, psychologue et psychanaliste spécialiste de la petite enfance, a
remis, lundi 9 mai, à la ministre des Familles et de l’Enfance son rapport sur le décloisonnement des métiers et
des interventions dans le secteur de la petite enfance. Rapport qui, souligne Laurence Rossignol, propose une
refondation et des orientations nouvelles de la politique d’accueil de la petite enfance;. En cela, il s’apparente à
un véritable guide à destination de tous les acteurs de la petite enfance ; Sylviane Giampino y formule en effet
108 préconisations pour le secteur,cohérentes, selon la ministre, et dont chacun peut [se] saisir pour
lancer de nouvelles dynamiques. Parmi celles ci, la spécialiste de la petite enfance recommande de mieux
structurer le secteur, en mal de reconnaissance, et de réformer les formations de ses professionnels, ;incomplètes
et hétérogènes. Ses propositions viendront nourrir non seulement le prochain plan d’action sur les métiers de la
petite enfance que Laurence Rossignol présentera dans les prochains mois, mais aussi la démarche de
consensus sur les besoins fondamentaux de l’enfant qui sera menée d’ici à quelques mois, telle que prévue par
la feuille de route 20152017 pour la protection de l’enfance.
Structurer le secteur
Malgré la forte implication des acteurs de la petite enfance, Sylviane Giampino relève un manque de
cohérence en matière d’accueil du jeune enfant, à plusieurs niveaux : les politiques d’accueil sont en réalité
construites par accumulation, en millefeuilles et par élargissement des formes d’accueil au fil du temps et
l’accueil est, lui, assuré par des professionnels d’horizons différents (santé, éducation, social). Si cette diversité
est une richesse, il manque toutefois un cadre de valeurs et d’objectifs communs, reconnaît la psychologue.
Aussi préconise t'elle d’élaborer un texte cadre au niveau national fondant une identité commune aux
professionnel(le)s de l’accueil de la petite enfance et aux familles, en dépassant les logiques métiers et la
diversité des acteurs.. Pour elle, ce texte devra, entre autres :
- indiquer les caractéristiques attendues des modes d’accueil, qui doivent désormais être centrées sur les
enjeux du développement et l’épanouissement du jeune enfant et non plus sur la parentalité, les évolutions
familiales et les contextes sociaux, la conciliation entre vie professionnelle et vie familiale ;
- clarifier les rôles des différents partenaires : protection maternelle infantile, services gestionnaires des
établissements d’accueil de jeunes enfants (EAJE), (publics, associatifs, privés lucratifs), organismes de
formation... ;
- être suffisamment précis sur les objectifs pour fixer le cadre, mais suffisamment ouvert concernant les
modalités de mise en pratique.
La rédaction de ce texte cadre sera d’ailleurs une des premières missions ; que Laurence Rossignol confiera à la
formation “enfance” du Haut Conseil de l’enfance, des familles et des âges de la vie (nouvelle instance a été
créée par la loi du 28 décembre 2015 relative à l’adaptation de la société au vieillissement), qui sera mis en
place prochainement, a t'elle par ailleurs assuré.
En outre,pour faire vivre une identité professionnelle nationale, souligner l’utilité publique de l’accueil de la
petite enfance et en valoriser les acteurs, favoriser les partages d’expériences (...), Sylviane Giampino propose
d’instituer une journée nationale des professionnel(le)s de l’accueil de la petite enfance,qui pourra être
déclinée au niveau régional.
Assurer le pilotage des métiers
Pour Sylviane Giampino, les formations des professionnels de la petite enfance sont incomplètes et
hétérogènes. Aujourd’hui, explique t'elle, les filières de formation et de qualification des métiers de la petite
enfance et de l’accueil dépendent, en ce qui concerne le cursus et le contenu des formations, des ministères
chargés de l’éducation nationale, des affaires sociales et de la santé. Quant à leur organisation, elle relève aussi
de plusieurs opérateurs (ministères, académies, régions...). Ce qui, couplé à l’inexistence d’une branche
professionnelle unique qui couvre tout le secteur de la petite enfance, explique l’absence de pilotage de
l’ensemble des métiers, un puissant frein à une réelle professionnalisation des métiers de la petite enfance.
Pour y remédier, elle recommande donc de renforcer la coordination entre les différentes tutelles dont dépendent
les différents diplômes, le ministère chargé des familles et de l’enfance pouvant ici jouer un rôle
d’intermédiaire facilitateur.
Elle suggère aussi la mise en place d’une plateforme réunissant les branches
professionnelles représentant des établissements et des professionnels de la petite enfance. Ses missions :
permettre une analyse des besoins en professionnel(le)s, non seulement en termes quantitatifs mais aussi en
termes de formation, et devenir ainsi l’interlocuteur de l’Etat sur cette seconde question.
Audelà,la psychologue note que les différents métiers de la petite enfance héritent d’histoires et de traditions
différentes : les métiers du soin pour les auxiliaires de puériculture et les puéricultrices, le travail social et
éducatif pour les éducateurs de jeunes enfants. Afin de consolider une identité professionnelle, le rapport
préconise de garantir des passerelles, d’un niveau à l’autre de diplômes des métiers de la petite enfance ; et
d’articuler les différents champs d’intervention entre les niveaux V à II, en se centrant sur les types de
compétences nécessaires pour accompagner le développement de l’enfant.
Réformer les formations
Pour Sylviane Giampino, il faut avant tout décloisonner l’ensemble des professions, sans gommer leurs
spécificités. Comment ? En constituant une base commune aux formations des professionnels de l’accueil de
la petite enfance, dès la formation initiale, en formation continue et aussi dans des situations professionnalisantes
au fil des opportunités;. Ce socle commun de connaissances pourrait être enseigné dans le cadre de modules
transversaux aux différents métiers en formation initiale, en thématiques, en temps communs de formation
continue, et en situations professionnelles de réflexion, d’expériences, d’apprentissages partagés au
fil des pratiques.
Par ailleurs, le rapport note que les EAJE souffrent d’une insuffisance de professionnels formé, alors même
que les besoins sontamenés à croître compte tenu du fait que la pyramide des âges de ces professionnels va
entraîner de nombreux départs à la retraite. Cette situation s’explique notamment par le manque de places dans
les écoles de formation d’éducateurs de jeunes enfants, d’infirmièrespuéricultrices
et d’auxiliaires de puériculture, les coûts parfois élevés des formations et l’inadaptation des modes de recrutement et de sélection
pour ces formations aux attendus des métiers concernés.
Pour répondre à ces insuffisances, Sylviane Giampino préconise par exemple d’accroître l’ouverture de places
de formation pour les métiers de la petite enfance afin de mieux répondre aux besoins des professionnels ; ou
bien encore de développer les formations en alternance, particulièrement adaptées à l’apprentissage des
métiers de la petite enfance, qui demandent, pour être exercés, des expériences concrètes d’immersion auprès
des enfants, comme des parents et des équipes. Elle recommande par ailleurs de favoriser l’acquisition des
qualifications par la voie de la validation des acquis de l’expérience (VAE), une voie prometteuse pour
augmenter le nombre des assistant(e)s maternel(le)s professionnel(le)s au sein des EAJE, par l’acquisition du
CAP petite enfance ou du diplôme d’auxiliaire de puériculture. Mais, en pratique, admet la psychologue, a
VAE est difficile, le processus est long pour beaucoup, en raison des difficultés pour acquérir concepts et
théories. Aussi suggère t'elle de mettre en place une évaluation qualitative et quantitative du dispositif actuel
de VAE en matière de diplôme petite enfance, de modulariser les diplômes, notamment le CAP petite enfance
et le diplôme d’auxiliaire de puériculture ; pour simplifier les processus d’évolution au sein des formations en
cours de carrière ou encore de créer un dispositif innovant de valorisation et de reconnaissances des situations
professionnalisantes, en guise detroisième voie [d’acquisition des qualifications], plus souple que la VAE.
Le rapport estime également nécessaire de renforcer les métiers de première ligne. Par exemple, de l’aveu
même des organisations d’assistantes maternelles et des acteurs en EAJE, la formation conduisant au CAP petite
enfance est trop scolaire et ses modules d’enseignement général décalés par rapport aux attentes en modes
d’accueil.

Sylviane Giampino appelle donc le gouvernement à intégrer aux travaux en cours de révision du
CAP petite enfance la nécessité d’une évolution des contenus de formation pour qu’ils correspondent aux
attentes en mode d’accueil. Dans ce cadre, la ministre des Familles et de l’Enfance a précisé que le diplôme
proposera des modules renforcés sur le développement de l’enfant et que son organisation serarepensée pour
mieux correspondre au public adulte qui y a recours dans le cadre de la VAE.
Signalons aussi que le rapport propose quelques aménagements pour les diplômes d’Etat d’auxiliaire de
puériculture et d’infirmière puéricultrice. Il s’attarde enfin sur la formation de l’encadrant petite enfance,
qui, selon lui, està repenser au regard de la multiplicité des tâches qui s’;imposent à lui, de l’évolution de la
société et des modes d’accueil. D’autant que sa formation initiale actuelle ne le prépare pas aux tâches de
direction d’un établissement et d’animation d’une équipe dédiée à la petite enfance. Sylviane Giampino propose
ainsi d’intégrer à la formation des encadrants l’apprentissage d’un mode de direction participatif, d’intelligence
collective, permettant la conception et la mise en oeuvre d’un projet d’accueil cohérent, vivant, ouvert et de
partenariats locaux et de faire en sorte que les personnes exerçant [cette] fonction aient une connaissance
approfondie du développement des jeunes enfants.
Article rédigé par Florence Tamerlo

Publicité
Commentaires
Archives
Publicité
Publicité